Quand Mme Pirckher était ado

Madame Pirckher est prof d’anglais dans notre charmant collège et a accepter de nous livrer quelques secrets de son adolescence !

Quelle était votre matière préférée (à par celle que vous enseignez, soit l’anglais) ?
A part l’anglais … le français. J’aimais beaucoup toutes les matières littéraires, j’aimais beaucoup écrire, les rédactions tout ça. Donc l’anglais, le français et l’allemand, j’aimais beaucoup l’allemand

Et celle que vous aimiez le moins ?
Alors là ! (rire) J’ai toujours beaucoup aimer travailler donc je n’avais pas de matières que je détestais véritablement mais j’étais un peu moins douée pour les matières scientifiques donc les maths, la physique-chimie, mais ce n’était pas catastrophique ! J’étais juste un peu moins douée (rire) !

Etiez-vous bonne dans toutes les matières ?
Euh ça allait a peu près, j’avais des moyennes plutôt correctes dans toutes les matières mais j’étais meilleure dans les matières littéraires surtout l’anglais.

Quel genre d’élève étiez-vous à l’école ?
J’étais une élève, euh, disons bavarde (rire). J’étais une élève assez sérieuse mais en même temps, j’aimais bien parler, bavarder, du coup quand on me disait de me taire je me taisais mais bon .. J’aimais bien participer aussi (rire) !

Y avait-il des profs qui vous paraissait injustes ? Pourquoi ?
Oulàlà, est-ce qu’il y avait des profs qui me paraissait injuste ? Alors là ? Non je n’ai jamais eu de problème avec les profs .. Ils n’étaient pas injustes mais il y avait des profs qui m’intéressaient un peu moins, que ce soit la personnalité des professeurs parce qu’on est tous différents ou que la matière m’intéressait moins. Mais des profs injustes, non je ne pense pas.

Quel métier vouliez-vous faire alors ?
Alors, il y en a eu plein ! (rire) Je voulais être journaliste, j’ai voulu être sage-femme, j’ai voulu être archéologue ! C’est pour cela que j’ai fais de l’allemand, on m’avait dit si tu veux faire archéologue il faut que tu fasse de l’allemand. Comme vous pouvez le voir ce n’est pas tout ce qui c’est passé ! (rire)

Quels sont vos meilleurs souvenirs du collège ?
Il y en beaucoup parce que le collège c’était bien, c’était assez sympa, les profs étaient assez gentils, on apprenait. J’ai fait partie du journal du collège et on faisait moitié français moitié anglais donc c’était super sympa. Moi, j’ai tout de suite adoré l’anglais et ça nous permettait de mieux connaître les profs etc …. Et puis d’être avec mes amis (même si je n’ai plus beaucoup d’amis du collège, plus du lycée) mais oui, ça c’était bien !

Et vos pires ?

Alors c’est pas facile les collégiens (rire) mon pire souvenir je peux dire que c’est que parfois on est en pleine adolescence et on n’est pas forcément faciles entre nous, on n’est pas tous très gentils.

Quelle fut votre pire bêtise?

Ma pire bêtise ! J’étais une élève sérieuse alors (rire) bêtise pour moi ça ne va pas être un truc énorme ! Je crois qu’une fois, à la fin de la troisième, on a fait une bataille d’eau et de farine dans le collège et que du coup on c’est fait gronder par la directrice. C’était pas une bonne idée ! Mais ce n’était pas très grave comme on s’en allait du collège … Mais on a bien mis le bazar !!!

Teddy’s world: Part 1

Bienvenue dans Teddy’s World, je m’appelle Teddy et je suis le MAITRE ABSOLU de ce monde ainsi que du CDI. Aujourd’hui je vais vous raconter ma semaine de Roi :

Lundi : La semaine a mal commencé (comme à chaque fois) car les 6eF sont venus rendre visite a l’impératrice Mme Valancia, le gros soucis c’est que c’est petits enfants me prénomemnt Bobby, alors me mon prénom est pour la 1000 et 1ème fois TEDDY.
Mais bon je fais avec, car certains lundis midi mes mamans viennent me rendre visite.

Mardi : C’était vraiment le plus beau jour de ma semaine. IL Y A CLUB JOURNAAAAAAAAAAAAAAAAAL et mes Mamans y participent, elles s’occupent de moi et de ma rubrique du journal en ligne (c’est genre trop cool).

Mercredi : C’était le vide intersideral, il ne se passe rien, mes mamans ne sont pas venues me voir, il n’y avait pas de club, ni CDI alors j’ai fait de la boxe avec ma cousine (mon punching-ball) Sourinette la souris.

Jeudi : Mme Valencia m’a demendé de tenir un livre et j’ai réussi ma mission avec succès j’ai donc pu avoir du CHOCOLAAAT

Vendredi : J’ai lu un manga et trois BD.

Samedi, Dimanche : J’ai dormi en permanence.

Voilà, à la semaine prochaine !!!!!!!!!!!!!!!

Mlle Hein et l’Anonymous

Climat : Des ados prennent les choses en main!

Vous avez sûrement déjà entendu parler du réchauffement climatique, et, sauf si vous vivez dans une grotte, vous savez que certaines personnes sont fières de faire entendre leur voix. Certain ont notre âge ! Qui sont-ils, qu’est-ce qu’ils font et pourquoi ?

1ere Adolescente : Greta Thunberg :
Greta Thunberg « une étincelle suédoise », la nouvelle icône de la lutte pour le climat, est l’adolescente de 16 ans qui a fait descendre dans les rues du monde des milliers de jeunes.

Elle es

Greta à la COP 24
consommation de viande, et a arrêté de prendre l’avion. C’est dans sa famille qu’elle se serait rendue compte de sa capacité à convaincre les autres. Elle a commencé l’été dernier son action en solitaire, en n’allant pas en cours le vendredi et s’installant avec son affiche Skolstrejk för klimatet (« grève étudiante pour le climat ») devant le Parlement à Stockholm pour demander aux élus d’en faire plus contre le changement climatique.Quelques mois plus tard, de Sydney à Bruxelles en passant par Londres, des milliers de collégiens et lycéens répondent présent à son appel hebdomadaire à la grève pour le climat, marchant dans les rues à ces côté avec des slogans appelant à « sauver notre avenir ».

Greta avec son affiche devant le parlement suédois

Lors de la première grande mobilisation au Royaume-Uni la semaine dernière, les services de la Première ministre Theresa May ont déploré que les jeunes perdent du « temps de cours ». Mais Greta ne s’est pas laissée faire en répondant sur Twitter « Les politiques, par leur inaction, ont perdu 30 ans, c’est légèrement pire ».

Elle était présente lors de la COP 24 de 2018 et a prononcé un discours fort dénonçant les pratiques gouvernementales. « Vous dites que vous aimez vous enfants par-dessus tout, et pourtant, vous leur volez leur futur. » « Je me moque d’être populaire, ce qui m’intéresse c’est la justice climatique et une planète bien vivante » «Si il n’y a pas de solution dans notre système, alors il faudra sans doute changer notre système. » « Nous n’avons plus d’excuses et nous n’avons plus de temps ». Vous pouvez retrouver son discourt complet sur YouTube.

Mais ce n’est pas tout ! Elle a aussi laissé un message à Emmanuel Macron qu’elle a fini par rencontrer : « Cher M. Macron, vous devez agir maintenant et pas simplement dire que vous allez agir, car si vous continuez à faire comme si de rien n’était, vous aller échouer. Et si vous échouez, vous allez être perçu comme l’un des pires méchants de l’histoire de l’humanité ». C’est le 15 mars dernier qu’elle a fait sa manifestation à Paris (mais malheureusement, légèrement moins de personnes se sont mobilisées que dans les autres pays). A son image, dans plusieurs lycées de France et du monde, des Lycéens font des manifestations dans leurs établissements et dans la rue.


2ème adolescente : Holly Gillibrand :

La jeune Britannique Holly Gillibrand de 13 ans, originaire de Fort William (Ecosse), a elle aussi appelé à la grève. « Je veux que les dirigeants écossais prennent le changement climatique au sérieux et qu’ils sachent qu’ils détruisent mon avenir » Elle fut accompagné, entre autre, de Adélaïde Charlier (18 ans, Belgique) Alexandria Villasenor (13 ans, Etats-Unis)et de nombreux autres.

3ème adolescent : Levi Draheim :

A 11 ans, Levi Draheim vit sur une bande de sable sur la côte de Floride à moins de 4 mètres au niveau de la mer. Il aimerait montrer plus tard à ses enfants l’endroit où il a grandi. Levi est le benjamin des 21 jeunes plaignants des associations Our Children’s Trust et Earth Guardians qui ont porté plainte contre le gouvernement des Etats-Unis.

Entretien avec Elias Dris

Elias Dris est un jeune compositeur et chanteur qui s’est produit sur scène à l’occasion de l’édition 2018 du festival des aventuriers, à Fontenay-sous-bois. Pour cet entretien, il est accompagné par Théo Cornier et Violet Arnold, qui l’accompagneront ensuite sur scène.

Charlotte : est-ce qu’un professeur vous a marqué quand vous étiez au collège ?
Ouais. Je me souviens bien d’une prof de maths, quand j’étais en 3°, Mme Grignon. J’aimais pas trop les maths – je ne sais pas pourquoi, je préférais le français… Et j’ai eu 17 au brevet grâce à cette dame très passionnée.

Jeanne : quel est le chanteur qui vous a le plus inspiré ?
Je pense que c’est David Bowie ou Bob Dylan.

Ornella : avec quel artiste aimeriez-vous vous produire ?
Je pense que ça m’amuserait bien de faire un duo avec Beyoncé. Je pense que comme tout le monde… Oui, c’est pas mal, Beyoncé.

Ornella : Aimeriez-vous participer à « The voice » ?
Non. Moi, j’écris mes chansons, je les enregistre et c’est ce que j’aime faire, c’est pour ça que je fais de la musique. Je ne prendrais pas autant de plaisir à chanter des chansons qui ne sont pas les miennes.

Louis-Anais : Combien gagnez-vous par mois ?
Ca dépend, en fait. Je ne suis pas salarié. Je pense que la plupart de vos parents sont salariés, ça veut dire qu’ils ont le même revenu tous les mois ; moi, c’est pas le cas, j’ai un revenu en fonction de ce que je fais ; ça ne dépend pas de la quantité de travail, ni même de la qualité. Ca dépend de pas grand-chose en fait, juste de l’argent qu’il y a et ça peut varier énormément. Là, par exemple, en juin, j’ai fait un album et on m’a proposé une avance, donc le mois dernier j’ai gagné 6000€ et je pense que le mois prochain je gagnerai autour de 700€. Donc c’est une fourchette extrêmement large. C’est pour ça que si tu veux en faire ton métier, si c’est ta seule source de revenu, tu n’as pas la même manière de compter ton budget que si tu étais salarié.
Il y a aussi le statut d’intermittent du spectacle, qui te permet d’avoir un revenu plus proche de celui d’un salarié, c’est-à-dire le même montant tous les mois.
Violet : Les sources de revenus, pour un musicien, c’est quand il fait des concerts, il est payé en « cachets » – on appelle ça comme ça – et les droits d’auteur, tous les six mois – ce n’est donc pas très stable – et quand on enregistre en studio. Tout ça génère des cachets. Au bout de 43 cachets – donc quand on a beaucoup travaillé – on peut obtenir le statut d’intermittent du spectacle. Il faut savoir que quand on est musicien, il y a beaucoup de travail qui n’est pas rémunéré : quand on compose, quand on répète… C’est pour ça que c’est bien d’avoir la passion avec, quoi, parce qu’il faut en vouloir quand même.
Elias : La majeure partie du travail, en fait, c’est comme les devoirs à la maison : c’est sur son temps à soi.

Paloma : Pourquoi chantez-vous en anglais ?
Pour moi, la langue que j’utilise dans mes chansons, c’est juste un médium pour m’exprimer, c’est comme si on me demandait « pourquoi la guitare et pas le piano ». C’est juste que c’est plus proche de la musique que j’écoute moi.

Diane : comment trouvez-vous votre inspiration ?
Partout. Des façons d’écrire des chansons, il y en a des milliards. Moi, j’écris tout le temps, je compose tout le temps et ce qui m’inspire, c’est des choses qui arrivent dans ma vie, des choses qui arrivent à des gens que je connais ou que je ne connais pas, un film, un livre… L’inspiration, on a souvent l’impression que l’inspiration vient à soi mais moi, je pense que c’est comme dans tout, il faut aller chercher les choses.

Pourquoi avez-vous choisi de faire de la musique ?
Parce que j’aime beaucoup ça. J’avais envie de faire de la scène, d’être dans un milieu artistique. Au début je voulais faire du théâtre. J’ai aussi eu envie de faire du cinéma, d’être peintre, d’écrire des romans… La musique, c’est… Ca rejoint un peu la question de tout à l’heure de savoir si j’étais bon en collège : moi, je n’ai jamais réussi à me donner à fonds sur quelque-chose qui ne me plaisait pas et en fait, la musique c’est ce qui faisait que ça m’amusait, ça me plaisait.

Nola : pourquoi jouez-vous du folk ?
Je n’écris pas que du folk, mais mon premier album, c’était du folk. A l’époque, je vivais sur la côte ouest des Etats-Unis, qui est un peu le berceau de cette musique.

Clémence : à quel âge avez-vous commencé à chanter ?
J’ai toujours un peu chanté, mais c’est à l’âge de quinze ans que je m’y suis mis un peu plus sérieusement. C’est en rencontrant Théo…
Théo : on s’est rencontré au lycée, en seconde, et on a commencé à créer un groupe. Après, il est parti aux Etats-Unis, moi j’ai fait des études de musique ; on s’est perdus de vue et après, on s’est retrouvés.

De quelle ville êtes-vous originaire ?
Je suis né à Fontenay-aux roses, j’ai grandi à Bagneux et maintenant, je vis à Vincennes.

Préférez-vous faire des concerts ou des clips ?
C’est très cool de faire des clips, c’est rigolo… En fait, c’est tellement pas pareil que c’est pas vraiment comparable…

Lucile : vous êtes le seul musicien de votre famille ?
Oui

Emilande : Pourquoi avez-vous choisi de chanter des reprises de Simon & Garfunkel ?
Je ne l’ai pas choisi, c’est un projet qu’on m’a proposé. On m’a proposé de chanter avec Morgan Imbeaud qui est une chanteuse que j’aime beaucoup. Je ne l’aurais pas fait de moi-même. Je trouvais ça intéressant de fouiller dans des chansons que je ne connais pas, d’artistes qui n’ont pas été une influence pour moi, de voir comment elles avaient été écrites…

Quel est votre meilleur souvenir de concert et pourquoi ?

C’est quand on a sorti l’album, on a fait un concert à la Gaieté Lyrique. C’était notre premier concert depuis la sortie de l’album. C’était un aboutissement, dans une belle salle comme ça…

Pierre : Comment vous êtes-vous fait connaître ?
En chantant avec Beyoncé (rires). Non. En gros, j’ai auto-produit mon album et ensuite, j’ai cherché un label : une société dont le but est de sortir des albums, de faire de la promotion… C’est eux qui s’occupent de la diffusion.

Discographie :
2017 : Gold in the Ashes
2018 : The Homeward Bound EP : Songs of Simon & Garfunkel
2019: Beatnik or not to be

Elias Dris – illustration de l’affiche du festival « Les aventuriers »

Je suis « famille d’accueil pour chiens », quel est mon rôle?

C’est quoi être famille d’accueil pour chiens ?
Etre famille d’accueil consiste à accueillir les chiens qui n’ont pas de famille plutôt que de les mettre dans un refuge.

Combien de temps gardez-vous les chiens chez vous ?
Nous pouvons les garder plus ou moins longtemps. Nous les gardons en général jusqu’à ce que le chien soit adopté.

Est-ce-que c’est difficile de se séparer des chiens après les avoir accueillis ?
Oui car nous nous s’attachons toujours à eux. Mais notre récompense est de les voir heureux dans leur famille pour la vie.

Est-ce-qu’il faut être spécialiste ou diplômé pour être famille d’accueil pour chiens ?
Non, les chiens sont confiés à des personnes plus ou moins expérimentées selon leur cas.

Est-ce-que il peut y avoir deux chiens dans une famille d’accueil ?
Oui, on peut avoir un ou plusieurs chiens en famille d’accueil.

Est-ce-que vous aménagez votre maison en fonction du chien que vous avez en famille d’accueil ?
Non pas trop, on change juste de panier en fonction de la taille du chien et on peut aussi installer un mini parc pour chiot.

Comment on fait si on est famille d’accueil et qu’on a déjà un chien pour que les deux s’entendent entre eux ?

Quand on est famille d’accueil et qu’on a un ou plusieurs chiens c’est un peu difficile car il faut qu’ils s’entendent. On peut choisir d’accueillir les chiens en fonction du caractère de chacun pour avoir une bonne entente. On peut aussi les séparer par moments (repas, nuit…)

Autrice: Léonie

Source: https://pixnio.com/fr/gens-fr/mere-pere-quatre-enfants-chien-jouer-a-lexterieur Domaine public

Critique de jeu: Undertale

Aujourd’hui je vais vous parlez de Undertale, un très bon jeu. Je vais vous raconter l’histoire mais sans trop vous spoiler car cela vous gâcherait l’expérience, donc je vais faire une partie sans spoil et une parti avec spoil ;dans celle-ci,je ne vais pas raconter l’histoire mais vous donner des informations sur le jeu.

1-PARTIE SANS SPOIL
Undertale est un jeu se passant après une guerre entre humains et monstres. Les monstres ont perdu cette guerre et été enfermés dans un réseau de grottes appelés Underground dont ils ne peuvent pas sortir car ils sont bloqués par une barrière qui ne peut se briser ou se traverser que si…(regardez dans la partie avec spoil). On joue un humain qui tombe dans l’underground et qui essayera de s’échapper de celui-ci

2-PARTIE AVEC SPOIL
Déjà il y a une chose à savoir avant de commencer les infos c’est qu’il y a plus d’une vingtaine d’histoire possibles selon si vous tuez les monstres ou que vous les épargnez. Mais il y a trois histoires (appelées « run ») principales :
-la run génocide (on tue tout le monde) :le boss final de cette run est Sans qui est très très très très très dur à battre
-la run « normale » (on épargne les gens mais on les tue aussi) :le boss final de cette run est Omega Flowey (note:Flowey normal eest une fleur en apparence très gentille ,mais en vrai elle n’est pas très gentille)
-la run pacifiste (on épargne tout le monde) :le boss final est Asriel qui est en fait Flowey mais Flowey est le fils d Asgore (le roi) et Toriel (l ancienne reine) et on doit l’épargner ;
1ère info : la barrière peut être traversée avec une âme de monstre et une âme humaine ; elle peut également être brisée avec 7 âmes humaines
2eme info : une âme humaine est beaucoup plus puissante qu’une âme de monstre (une âme humaine équivaut à toutes les âmes de monstres)
3eme info : les monstres peuvent absorber les âmes humaines. C’est d’ailleurs pour ça que la guerre entre humains et monstres a éclaté : les humains avaient peur que les monstres absorbent leurs âmes.
4eme info : un jour un,humain (Chara) tomba dans l’Underground. Cet humain a été accueilli par la famille royale dont Asriel fait partie. Un jour, Chara se suicida pour qu’Asriel absorbe son âme, traverse la barrière et mette fin à l’humanité mais ça ne s’est pas exactement passé comme ça car Asriel n’as pas voulu mettre fin à l’humanité. Du coup Asriel est mort et son âme s’est répandue sur les goldens flowers du château de l’Underground. Mais, un jour ,l e scientifique royal (Alphys), qui faisait des expériences sur l’âme (pour essayer de s’échapper de l’Underground) créa une fleur vivante qui n’avait pas d’âme (et, par la même occasion, qui ne ressentait pas de sentiments) : c’était Asriel
5eme info : quand on a 7 âmes humaines on devient un dieu et on contrôle la sauvegarde.

3-CONCLUSION
Undertale est un très bon jeu mais qui est très difficile à comprendre surtout que, pour bien comprendre il faut faire les 3 runs principaux. C’est ce qui est sûrement un des seuls défauts du jeu, surtout que le jeu est en anglais ! Mais il y a un moyen (un peu galère) de le mettre en français (sur PC). Je vous conseille vraiment de jouer à ce jeu surtout qu’il est sortit sur PC, PS4 et maintenant sur Nintendo Switch.

NOTE perso: 19/20

Musique conseillée : undertale : thème Asriel
undertale : megalovania
undertale : thème
undyne : the true hero
undertale : save the world
undertale : echo
undertale : thème Papyrus

Auteur de l’article: Louis-Mael

Édito de la pause des ados

Hello !

Êtes-vous en forme pour ce nouveau journal ? Parce que nous sommes revenus en force ! Ne lisez pas l’article « Undertale » avant de vous coucher car vous pourriez en faire des cauchemars ! Rassurez-vous, il n’y a pas d’autres fantôme dans cette merveille (en toute modestie) ! Des détails croustillants dans cette nouvelle interview ! Deux nouvelles BD pour encore + de plaisir ! Vous en apprendrez plus sur les refuges et les familles d’accueil de chiens ! Des illustrateurs(trices) hors-pair ont dessiné pour vous ! Des infos amusantes sur les profs ! L’astro-rubrique va faire son apparition ! L’interview exclusive (que personne n’attend, vu que vous n’avez pas encore lu le journal) de Elias Dris qui a participé au festival des Aventuriers de Fontenay ! Vous découvrirez également des pubs surprenantes pour des produits extraordinaires, ainsi qu’un article sur les réseaux sociaux !
À vos marques, prêts, APPRÉCIEZ !

*C’est une blague (l’auteur nous a interdit de le publier comme ça)

P-S : Nous adorons les points d’exclamation !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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